Le promoteur: Genentech
Genentech MAJ Il y a 5 ans

Etude GO40290 : étude de phase 2, randomisée en aveugle, évaluant l’efficacité du tiragolumab, un anticorps anti-TIGIT, associé à l’atézolizumab par rapport à un placebo associé à l’atézolizumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique, non préalablement traités. Le cancer du poumon non à petites cellules est le plus fréquent, il représente 85-90 % de l'ensemble des cancers du poumon. Il prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon. Ce type de cancer porte le nom d’adénocarcinome. Le traitement de référence est la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. On a recours au traitement ciblé pour traiter le cancer du poumon non à petites cellules qui s’est propagé à d’autres parties du corps ou qui est réapparu après des traitements de chimiothérapie. Le tiragolumab est un anticorps monoclonal qui vise une protéine dont la présence est fortement liée à celles d’autres molécules (comme PD-1) dont on connait bien l’implication dans le cancer. En effet, PD-1 est une protéine de contrôle des cellules immunitaires appelée cellules T. Lorsqu’il est activé, PD1 empêche les cellules T d’attaquer les cellules cancéreuses. Bloquer ces protéines permet donc de réactiver le système immunitaire contre les cellules cancéreuses. Le tiragolumab a une action anti-inflammatoire et contrôle la prolifération tumorale. L'atézolizumab est un anticorps monoclonal, anti- PD-L1, qui empêche le blocage de de la réponse immunitaire et permet de réactiver de la réponse immunitaire antitumorale. Un placebo est un médicament sans principe actif. Il n'a donc de ce fait aucun effet pharmacologique dans la pathologie qu'il est censé traiter. Pour autant, il n'est pas toujours sans bénéfice sur la santé des patients, car il agit via l'effet placébo. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du tiragolumab, un anticorps anti-TIGIT, associé à de l’atézolizumab par rapport à un placebo associé à de l’atézolizumab chez des patients non préalablement traités, ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du tiragolumab associé à de l’atézolizumab au 1er jour de chaque cure. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients 2ème groupe recevront un placebo associé à de l’atézolizumab au 1er jour de chaque cure. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour des évaluations tumorales toutes les 6 semaines pendant les 36 premières semaines, puis toutes les 9 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après la randomisation.

Essai ouvert aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 4 ans

Etude GO40290 : étude de phase 2, randomisée en aveugle, évaluant l’efficacité du tiragolumab, un anticorps anti-TIGIT, associé à l’atézolizumab par rapport à un placebo associé à l’atézolizumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique, non préalablement traités. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le plus fréquent, il représente 85-90 % de l'ensemble des cancers du poumon. Il prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon. Ce type de cancer porte le nom d’adénocarcinome. Le traitement de référence est la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. On a recours au traitement ciblé pour traiter le cancer du poumon non à petites cellules qui s’est propagé à d’autres parties du corps ou qui est réapparu après des traitements de chimiothérapie. Le tiragolumab est un anticorps monoclonal qui vise une protéine dont la présence est fortement liée à celles d’autres molécules (comme PD-1) dont on connait bien l’implication dans le cancer. En effet, PD-1 est une protéine de contrôle des cellules immunitaires appelée cellules T. Lorsqu’il est activé, PD1 empêche les cellules T d’attaquer les cellules cancéreuses. Bloquer ces protéines permet donc de réactiver le système immunitaire contre les cellules cancéreuses. Le tiragolumab a une action anti-inflammatoire et contrôle la prolifération tumorale. L'atézolizumab est un anticorps monoclonal, anti- PD-L1, qui empêche le blocage de de la réponse immunitaire et permet de réactiver de la réponse immunitaire antitumorale. Un placebo est un médicament sans principe actif. Il n'a donc de ce fait aucun effet pharmacologique dans la pathologie qu'il est censé traiter. Pour autant, il n'est pas toujours sans bénéfice sur la santé des patients, car il agit via l'effet placébo. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du tiragolumab, un anticorps anti-TIGIT, associé à de l’atézolizumab par rapport à un placebo associé à de l’atézolizumab chez des patients non préalablement traités, ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du tiragolumab associé à de l’atézolizumab au 1er jour de chaque cure. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients 2ème groupe recevront un placebo associé à de l’atézolizumab au 1er jour de chaque cure. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour des évaluations tumorales toutes les 6 semaines pendant les 36 premières semaines, puis toutes les 9 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après la randomisation.

Essai clos aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 4 ans

Étude GO28888 : étude de phase 2, randomisée, en double aveugle, comparant l’efficacité d’un traitement néoadjuvant associant létrozole et taselisib (GDC-0032) par rapport à un traitement associant létrozole et placebo, chez des patientes post-ménopausées ayant un cancer du sein primitif ER-positif et HER2-négatif. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité d’un traitement néoadjuvant associant létrozole et taselisib (GDC-0032) par rapport à un traitement associant létrozole et placebo, chez des patientes post-ménopausées ayant un cancer du sein primitif ER-positif et HER2-négatif. Un prélèvement d’échantillons tumoraux (biopsie) sera réalisé avant le début du traitement à l’étude. Les patientes seront ensuite réparties de façon aléatoire en deux groupes : Les patientes du premier groupe recevront un traitement néoadjuvant associant des comprimés de létrozole et des comprimés de taselisib administrés une fois par jour, pendant cinq jours consécutifs suivi de deux jours d’arrêt pour un total de 16 semaines. Les patientes du deuxième groupe recevront du létrozole selon les mêmes modalités que dans le premier groupe, mais le taselisib sera remplacé par un placebo. Dans le cadre de cette étude, ni la patiente, ni le médecin ne connaitront le type de traitement attribué (taselisib ou placebo). Pendant le traitement, les patientes bénéficieront d’un examen clinique et d’un bilan biologique toutes les quatre semaines, d’un prélèvement d’échantillons tumoraux (biopsie) à trois semaines de traitement, et d’une échographie mammaire et/ou IRM à neuf semaines et à la fin du traitement. Une chirurgie mammaire sera réalisée quatre jours après la fin du traitement, suivie d’un traitement adjuvant par hormonothérapie et/ou chimiothérapie et/ou radiothérapie, selon le choix du médecin.

Essai clos aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 4 ans

Étude GO29044 : étude de phase 1b-2, évaluant la sécurité d’emploi, la tolérance et l'activité anti-tumorale de polatuzumab vedotin (DCDS4501A) en association avec le rituximab ou l’obinutuzumab, le cyclophosphamide, la doxorubicine et la prednisone, chez des patients ayant un lymphome non hodgkinien à cellules B. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l'activité anti-tumorale de polatuzumab vedotin (DCDS4501A) en association avec le rituximab ou l’obinutuzumab, le cyclophosphamide, la doxorubicine et la prednisone, chez des patients ayant un lymphome non hodgkinien à cellules B. Cette étude comprendra deux parties : Durant la première partie, différentes doses de polatuzumab vedotin (DCDS4501A) sont testées jusqu’à l’obtention de la dose la mieux tolérée. Durant la deuxième partie, les patients seront répartis en deux groupes : Les patients du premier groupe, recevront du polatuzumab vedotin (DCDS4501A) à la dose la mieux tolérée déterminée dans la première partie, en association avec un traitement de type G–CHP comprenant de l’obinutuzumab, du cyclophosphamide, de la doxorubicine et de la prednisone, administrés en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines, pendant six à huit cures. Les patients du deuxième groupe, recevront le même traitement que dans le premier groupe, mais l’obinutuzumab sera remplacé par le rituximab, administré en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines, pendant six à huit cures.

Essai clos aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 5 ans

Etude GO30103 : étude de phase 1a-1b visant à évaluer l’innocuité et la pharmacocinétique du MTIG7192A seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. Une tumeur correspond au développement d’un tissu nouvellement formé au sein d’un tissu normal. Elle peut être bénigne (non cancéreuse) ou maligne (cancer). Les cellules cancéreuses sont initialement localisées au niveau de l’organe mais peuvent se détacher et se propager à d’autres parties du corps, formant des « métastases ». Le pronostic de ce type cancer a été radicalement modifié ces dernières années notamment grâce à l’utilisation de l’immunothérapie qui consiste à utiliser des molécules qui vont stimuler les défenses immunitaires, pour qu’elles combattent les cellules cancéreuses. Le MTIG7192A et l’atézolizumab sont deux traitements d’immunothérapie. L’objectif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques du MTIG7192A administré seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. Les patients seront répartis en 2 groupes, et pour chacun des groupes, l’étude sera réalisée en 2 parties : une première partie visant à déterminer la dose de MTIG7192A à administrer et une deuxième partie dans le but d’étudier la sécurité, la tolérance, les paramètres pharmacocinétiques et l’efficacité primaire du MTIG7192A. Les patients du premier groupe recevront du MTIG7192A toutes les 3 semaines. Les patients du deuxième groupe recevront du MTIG7192A et de l’atézolizumab toutes les 3 semaines. Dans les 2 groupes de patients, le traitement sera répété jusqu’à la progression ou perte du bénéfice clinique. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai ouvert aux inclusions